D’encre et de sang. Simon Goulart et la Saint-Barthélemy, Paris, Classiques Garnier, 2e éd., 2024 (1e éd. : 2007), 640 p. (« Bibliothèque de la Renaissance », 69). Notice d’éd. [Publié après la Saint-Barthélemy, l’ouvrage militant de Simon Goulart, Memoires de l’estat de France sous Charles neufiesme est à la fois une enquête historique, un témoignage et un réquisitoire, une réflexion politique et un discours apologétique. Cette étude envisage l’œuvre de Goulart dans sa totalité et montre comment s’invente une autre manière d’écrire l’histoire. – Contient : Introduction. Première partie : Un milieu et des textes (chap. 1, L’historiographie protestante des guerres de religion ; 2, Simon Goulart et la place de l’histoire dans son œuvre ; 3, Le projet des Mémoires de l’état de France sous Charles IX). – Deuxième partie : Une méthode et un genre historiographiques (1, La recherche d’une méthode ; 2, Les sources narratives ; 3, L’usage du document). –Troisième partie : Représenter et expliquer (1, La « tragédie des tragédies » ; 2, Une écriture pathétique ; 3, La trame des causes). – Quatrième partie : Dire le droit (1, Les théories politiques « monarchomaques » ; 2, La voix de Simon Goulart ; 3, L’autorité des exemples). Conclusion ; annexe ; bibliographie, p. 595-619 ; index des noms et des titres].
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Jean-Pierre Rothschild (29 septembre 2024). Huchard (Cécile) [monogr.], Quid sit homo. Consulté le 15 mars 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/12dom