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Vermeer (M.), Druwé (W.), Mikula (M.) [dir.],

Testamentary Freedom, « ius commune » and Particular Law (c. 1400-1620), Louvain, Peeters, 2023, 230 p. (« Iuris Scripta Historica », 31) [en libre accès]. Notice d’éd. [En tant que l’un des restes du droit romain, le testament joua un rôle important dans l’histoire de l’Europe. Les dernières volontés offrent des possibilités de recherche interdisciplinaire, à la croisée du droit, de l’histoire sociale de l’histoire économique et de celle des mentalités. Bien que formellement l’expression des dernières volontés du testateur, le testament était soumis à des restrictions et à des formalités diverses telles que des lois du souverain, des intérêts de famille et des stipulations en provenance du ius commune. Dix-neuf articles traitent ici du statut juridique, de la pratique et des restrictions en matière testamentaire, en particulier dans les régions d’’Europe qui, du XVe au XVIIe siècle, formaient la périphérie de la tradition du ius commune. Il y a trois groupes d’articles : ceux qui étudient les pratiques testamentaires comme donnant à voir la vie sociale ; ceux qui considèrent la position du ius commune par comparaison avec le discours et la pratique juridiques locaux ; ceux qui traitent des relations entre le droit particulier et la liberté de tester].


OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Jean-Pierre Rothschild (2 septembre 2024). Vermeer (M.), Druwé (W.), Mikula (M.) [dir.], Quid sit homo. Consulté le 15 mars 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/12866