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Van Rooy (Raf) [art.]

« Ippolita Maria Sforza, Student and Patron of Greek in Milan », Renaissance Quarterly 76/3, Fall 2023, p. 848-892. [Notice d’éd. Lors de la restauration de l’héritage grec à la Renaissance, les premiers hellénistes furent principalement des aspirants humanistes et presque toujours des hommes. Une exception précoce fut Ippolita Maria Sforza (1445-1488), fille aînée du duc de Milan, François Ier Sforza. Selon l’A., elle ne se contenta pas d’apprendre le grec mais se fit aussi la mécène des études grecques. De ce double rôle témoignent deux grammaires qui lui furent dédiées et qui sont en rapport avec l’exilé de Byzance Constantin Lascaris ; elles montrent la manière dont Ippolita dut étudier le grec et comment on se la représentait en tant qu’étudiante].


OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Jean-Pierre Rothschild (26 janvier 2024). Van Rooy (Raf) [art.]. Quid sit homo. Consulté le 15 mars 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/11u5v