La lettre familière au XVIe siècle. Rhétorique humaniste de l’épistolaire, Paris, Classiques Garnier, 2e éd., (juin) 2024 (1e éd. : 2003), 464 p. (« Études et essais sur la Renaissance », 42). Notice d’éd. [Analyse et définit le genre de la lettre familière dans la prose française du XVIe siècle en confrontant les textes théoriques aux recueils épistolaires. Se modelant sur l’art de la conversation, la lettre familière « devient un vecteur privilégié de l’expression de soi à la Renaissance ». – Contient : Introduction, p. 11-36. Première partie, Histoire de l’épistolographie de l’antiquité à la renaissance (ch. 1, Origine et développement de la rhétorique épistolaire, p. 39-77 ; ch. 2, L’épistolographie médiévale : du sermo à la contentio orationis, p. 79-107 ; ch. 3, De l’imitatio ciceroniana à l’émulation vernaculaire : essor et déclin de la lettre néo-latine », p. 109-146 ; ch. 4, Les manuels d’épistolographie à la Renaissance : quand la familiarité devient le masque de la rhétorique, p. 147-188). Deuxième partie, Analyse rhétorique des recueils de lettres familières françaises du XVIe siècle (ch. 5, Les Epistres familieres et invectives de madame Helisenne : contentio orationis ou sermo pedestris ?, p. 191-233 ; ch. 6, Les Lettres missives et familières d’Etienne du Tronchet : rhétorique de l’éthos familier, p. 235-279 ; ch. 7, Le Premier livre de Gaspar de Saillans : des « lettres missives familièrement escrittes au vray », p. 281-315 ; ch. 8, Les Missives des dames des Roches : rhétorique mondaine de la lettre de compliment, p. 317-352 ; ch. 9, Les Lettres d’Étienne Pasquier : du familier à l’informel, p. 353-392). Conclusion générale, p. 393-398. Bibliographie, p. 399-440 ; index nominum].
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Jean-Pierre Rothschild (2 septembre 2024). Vaillancourt (Luc) [monogr.], Quid sit homo. Consulté le 12 février 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/12862