« Aquila o herodius? Alberto Magno interprete della Metafisica di Aristotele nel Prologo della Summa theologiae », Bulletin de philosophie médiévale 65, 2023, p. 99-128. Notice d’éd. [Commentant la Métaphysique, Albert le Grand envisage que l’intellect humain puisse considérer les réalités les plus élevées non seulement comme l’œil de la chauve-souris perçoit la lumière du jour (Aristote, Métaph. II) mais aussi, au prix d’une étude progressive, dès cette vie, comme l’œil de l’aigle voit le disque solaire. Dans sa Summa theologiae, revenant sur ce passage d’Aristote, il remplace l’aigle par l’herodius ou aigle doré, celui qui possède selon lui la vision la plus aiguë. On interprète ici cette variation, en fonction des autres références d’Albert à l’herodius, à la recherche d’une éventuelle distinction entre deux différentes aptitudes cognitives qui distingueraient la métaphysique et la théologie].
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Jean-Pierre Rothschild (31 juillet 2024). Bertolacci (Amos) [art.], Quid sit homo. Consulté le 19 avril 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/1245y