Entführung und Gefangenschaft. Erfahrene Unfreiheit in gewaltsamen Konflikten im Spiegel spätmittelalterlicher Selbstzeugnisse, Tübingen, UVK, 2021, 490 p. (Rec. Christoph Mauntel, Speculum 99/2, April 2024,p. 618-619. Issu d’une thèse soutenue à l’université de Bochum en 2014, l’ouvrage traite des expériences d’enlèvement et d’emprisonnement rapportées dans vingt documents médiévaux écrits à la première personne, les captivités étant soit intérieures à l’Empire Romain Germanique, soit subies dans les empires musulmans du Levant ou du Moyen Orient. La période couverte s’éétend de 1396 (suites de la bataille de Nicopolis) à la Paix d’Augsbourg en 1555. En cas de captivité extérieure, les anciens prisonniers, de retour, avaient encore à prouver leur identité et leur fidélité religieuse, éventuellement à supporter les conséquences économiques d’un versement de rançon ; telles furent souvent les raisons de la rédaction de ces rapports de captivité).
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Jean-Pierre Rothschild (28 avril 2024). Reitmayer (Mirjam) [monogr.]. Quid sit homo. Consulté le 19 avril 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/11u8k