Pontus de Tyard poète, philosophe, théologien, Paris, Classiques Garnier, 2e éd., 2024, 413 p. (« Rencontres », 206).
[Notice d’éd. Réimpr. de l’éd. de 2003. Les contributions ici réunies étudient les différentes facettes de l’œuvre de Pontus de Tyard, incarnation de l’honnête homme. Tenté par l’aventure encyclopédique humaniste, il s’illustra comme poète, philosophe mais aussi homme d’Église. Ce volume analyse également l’unité et la singularité de sa production. Contient : Céard (Jean), « Préface », p. 7-10 ; Bokdam (Sylviane), « Avant-Propos », p. 11 à 13. – Première partie. Tyard en son temps : Boucher (Jacqueline), « Pontus de Tyard, homme des derniers Valois », p. 17-28 ; Fontaine (Marie Madeleine), « L’entourage lyonnais de Pontus de Tyard », p. 29-40 ; Roudaut (François), « Deux écrits polémiques de Tyard : la Lettre au jésuite Charles et la Généalogie de Hugues Capet », p. 41-60 ; Magnien (Catherine), « Étienne Pasquier et Pontus de Tyard », p. 61-88 ; Simonin (Michel), « Pontus de Tyard et l’édition de ses écrits », p. 89-109. – Deuxième partie. La poésie et les arts : Kushner (Eva), « Y a-t-il chez Pontus de Tyard une poétique du recueil ? », p. 113-120 ; Rouget (François), « L’art de la dispositio formelle dans l’œuvre poétique de Pontus de Tyard », p. 121-136 ; Martin (Daniel), « ‘‘Tous deux pressez souz un mesme soucy’’ : le dialogue poétique entre Guillaume des Autelz et Pontus de Tyard », p. 137-154 ; Bots (W.J.A.), « Pontus de Tyard et Joachim du Bellay, deux iréniques, deux rhétoriques différentes ? », p. 155-164 ; McClelland (John), « Le Solitaire premier et les arts poétiques français des années 1520-1550 : le discours du nombre », p. 165-175 ; Buzon (Frédéric de), « La voix compassée. Pontus de Tyard et le calcul des modes », p. 177-195 ; Rèpaci Courtois (Gabriella), « La peinture dans la réflexion théorique de Pontus de Tyard », p. 197-211. – Troisième partie. Dialogue et Encyclopédie : Carron (Jean-Claude), « Interférences dialogiques et « efficace » littéraire dans les dialogues philosophiques de Pontus de Tyard », p. 215-232 ; Vulcan (Ruxandra), « Méthode et expérience dans le Solitaire premier de Pontus de Tyard », p. 233-242 ; Maillard (Jean-François), « Hermétisme et kabbale chez Pontus de Tyard », p. 243-260 ; Pantin (Isabelle), « Les Ephemerides octavae sphaerae (1562) et leur place dans la réflexion cosmologique de Pontus de Tyard », p. 261-278 ; Bokdam (Sylviane), « La question astrologique chez Tyard de Mantice aux Homilies », p. 279-298. – Quatrième partie. La Bible et les noms : Fragonard (Marie-Madeleine), « Didactique et polémique : le culte des saints », p. 301-316 ; Giacone (Franco), « Pontus de Tyard, traducteur-exégète dans les Homélies », p. 317-330 ; Demonet (Marie-Luce), « Philosophie du langage, des Discours au De recta nominum impositione », p. 331-356 ; Margolin (Jean-Claude), « À propos de l’« imposition » des noms propres chez Pontus de Tyard Extraits de l’histoire ou de la géographie : cratylisme ou non-cratylisme ? », p. 357-369 ; Kushner (Eva), « Conclusions », p. 371-375. Discussions, p. 377-396. Index nominum, index rerum].
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Jean-Pierre Rothschild (20 février 2024). Bokdam (Sylviane) [dir.], Céard (Jean) [préf.]. Quid sit homo. Consulté le 19 avril 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/11u6i